La seconde étape une fois que Dieu est venu nous trouver au fond de notre situation de crise réside dans notre engagement à nous accrocher à Lui, notre détermination à prier et à lire notre Bible même si nous avons davantage envie de nous recroqueviller sur nous-mêmes. A la fin de la lutte de Jacob avec l’ange, notez les paroles de ce dernier : “Je ne Te laisserai pas partir sans que Tu m'aies béni” (Gn 32. 26). Il n’avait pas choisi cette situation et cette lutte, mais il ne l’avait pas esquivée. Il avait continué à se battre jusqu’à l’aube, et n’avait pas voulu laissé l’ange le laisser sans le bénir. Une leçon pour nous aujourd’hui : quand nous demandons à Dieu quelque chose d’important, sommes-nous persistent ou abandonnons-nous notre requête après une ou deux prières. On raconte l’histoire de ce père d’un soldat Israélien grièvement blessé à la tête durant la guerre des Six Jours pour lequel les médecins avaient pronostiqués une mort cérébrale et qui se mit à genoux au chevet de son fils et se mit à prier heure après heure pour que Dieu reprenne son fils. Car il ne voulait pas le voir vivre comme “un légume” des mois, voire des années. Il ne cessa de prier jusqu’au matin, quand Dieu exauça sa prière et reprit son fils. Ne nous décourageons pas dans l’adversité, mais persévérons dans la prière et la lecture de Sa parole. Faisons comme Jacob, disons à Dieu : “Je vais m’accrocher à Toi jusqu’à ce que Tu me bénisses”, au lieu de baisser les bras. Si le changement prend du temps à apparaître souvenez-nous que notre situation résulte souvent d’années de mauvaises attitudes et que le changement ne sera pas le fruit d’une prière “instantanée”, mais la conséquence de prières répétées et sincères. Parfois Dieu veut savoir combien déterminés nous sommes à rechercher Ses bénédictions et à accepter d’être renouvelés dans notre intelligence. |
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