Le Seigneur Jésus est non seulement l’auteur de la foi, mais aussi Celui qui la mène à la perfection. En tant qu’homme, Il a parcouru le chemin de la foi, parcours qui L’a amené à la croix. Dans Sa souffrance humaine, Il a été soutenu par la connaissance de la joie de Son Père, la vision de la joie qui était devant Lui. La joie d’avoir bientôt Son “épouse”, avec Lui (He 12. 2). Aujourd’hui, parce que vos bien-aimés n’ont pas encore trouvé la foi ou l’ont abandonnée, vous vous sentez incompris et jugés et ne trouvez aucun réconfort à votre douleur. Le temps passe et votre foi et votre confiance en Dieu et en ses promesses ont été mises à rude épreuve. Prenez courage ! Comme Jésus, considérons l’espérance que nous avons ! Rappelons-nous que : “Si c’est seulement dans cette vie que nous avons l’espérance en Christ, nous sommes les plus misérables de tous les hommes” (1 Cor 15. 19). Ne nous méprenons pas, prions avec persévérance les uns pour les autres et pour nos bien-aimés, car nous espérons voir dans cette vie l’incroyable travail de Dieu : la rédemption et le salut de ceux qui nous sont chers. Ruth Graham a raconté l’histoire d’un jeune homme, perdu dans ses voies pécheresses, qui s’est plaint à Dieu de la résistance et de l’ingérence de Dieu dans sa vie. “Mon Dieu, quand vas-Tu me laisser tranquille ?” Et Dieu de lui répondre : “Je te laisserai tranquille quand ta mère Me laissera tranquille !” S’il vous plaît, n’arrêtez pas de prier pour vos bien-aimés qui ont connu le Seigneur, mais qui l’ont abandonné, ne perdez pas espoir. Le bon berger ira après cette brebis égarée et ne s'arrêtera pas tant qu’Il ne l’aura pas trouvée, puis Il la posera sur Son épaule et la ramènera saine et sauve à la maison” (Lc 15. 4). Aujourd’hui, si vous avez besoin de réconfort dans un moment de détresse émotionnelle, pensez à ceux pour qui vous priez : voyez-les debout, ensemble et unis devant le visage de Jésus dans un jour à venir ! “Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas” (He 11. 1). |
Commentaires