Cette histoire a déjà été publiée il y a pas mal d’années, mais elle mérite une seconde lecture, ne croyez-vous pas ? Quand le pasteur introduisit le prédicateur du jour, c’est un vieil homme qui s’avança jusqu’à la chaire. Voici l’histoire qu’il raconta : “Un père de famille, son fils et un ami de son fils, étaient partis faire une promenade en mer sur la côte du Pacifique quand une tempête imprévisible fit chavirer leur voilier, les jetant tous trois dans l’océan. A la dernière seconde le père parvint à attraper une corde de sauvetage mais un terrible choix se présenta alors à lui : à quel garçon devait-il jeter l’autre bout de la corde et lequel devait-il sacrifier ? Il savait que son fils avait accepté Christ tandis que son ami ne l’avait pas fait. Bouleversé, il cria “je t’aime tant mon fils” avant de lancer la corde à son ami. Le temps de ramener le garçon jusqu’à la coque retournée du voilier, son propre fils avait disparu sous les vagues. Son corps ne fut jamais repêché. Le père savait que son fils venait d’entrer dans l’éternité avec Jésus.
Il n’avait pas pu accepter l’idée de laisser son ami s’enfoncer dans l’éternité sans avoir eu l’occasion de connaître Jésus. A la fin du culte un adolescent s’approcha du prédicateur pour lui dire : “Belle histoire, mais peu plausible : quelle sorte de père sacrifierait son fils dans l’espoir que l’ami de son fils devienne chrétien ?” Le vieux prédicateur répondit : “Vous avez raison, ce n’est pas très plausible. Mais je vous affirme que cette histoire m’a donné une bonne idée de ce que Dieu a dû ressentir lorsqu’Il a décidé de sacrifier Son Fils pour chacun d’entre nous. Voyez-vous, dans l’histoire que j’ai racontée, le père qui a sacrifié son fils, c’était moi... et votre pasteur c’était l’ami de mon fils !” Les Pharisiens qui assistaient à la mort de Jésus-Christ, s’écrièrent : “Il a sauvé les autres et Il ne peut se sauver Lui-même !” Et ils avaient raison ! Il ne pouvait faire les deux, alors Il a choisi de vous sauver, vous ! Accepterez-vous Son offre de salut aujourd’hui ? |
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